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Le « Pineapple Beach Bag »

Pineapple Beach Bag ???

Mais qu’est-ce que c’est donc t-il que ce truc ???

Ben, c’est un sac de plage de plage décoré avec des ananas, quoi !

Pineapple Beach Bag, ça fait vraiment exotique, non ?

On dirait presque une marque tendance…

Je reprends depuis le début : voici LE sac offert par mes chères collègues :

La créatrice compulsive que je suis ne peut le laisser ainsi : je DOIS le customizer !

Qui dit plage (« beach » sur le sac) dit : soleil, lumière, ambiance exotique, couleurs, paillettes, et… ananas …

Allez, je me lâche en laissant libre cours à mon imagination de nana dingue d’ananas.

 

 

 

 

En premier, j’entame une réflexion (assez rapide, il faut l’avouer …) sur la déco des lettres en corde.

J’opte pour le surlignage avec un stylo pailletté rose, histoire de commencer dans le glam…

(glamour, quoi …).

 

 

 

Très vite, s’impose à moi l’usage du fameux pochoir déjà décliné sur mes t-shirts et casquettes (et coussins, et poche arrière de jean, et… j’en passe…).

Bien évidemment, j’utilise toujours de la peinture pour tissus.

Base blanche puis passage de la couleur.

Le motif central est un ananas et les motifs périphériques… des ananas aussi !

 

 

 

Bon, et puis pour ne pas rester dans trop de sobriété, j’ajoute des sequins à la lisière du sac et en-dessous des petits ananas.

 

 

 

         

 

 

Et maintenant, une vue d’ensemble ?

Ok !

              

      

Avouez qu’il a fière allure ce chouchou-bag !

Voilà comment donner du style à un sac sympa mais que je trouvais un peu sobre pour l’été.

Pourquoi pas se faire plaisir avec des formes et des couleurs afin de garder un esprit léger et festif pour aller à la plage ?

Cher ami lecteur, tu peux aussi le faire !

Tu ne n’oses pas te lancer ?

N’hésite pas à me demander des conseils  : je suis là pour TOI !

A bientôt ici ou sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram).

 

 

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Publié dans tableaux

Une déco au top : des carrés en dégradés

Un tableau ne me plaît plus ? Je le transforme !

Ou plutôt, je le découpe et je m’en servirai plus tard… je garde juste l’idée des carrés.

Sur un nouveau châssis de format carré (100 X 100) j’ai eu envie de remettre aux couleurs de ma maison ce tableau réalisé il y a bien des années en conservant cette composition de carrés espacés de façon régulière et suivant des tonalités partant en dégradés.

Un peu à la manière des nuanciers des peintres.

L’ancien modèle… (tenu avec les pieds… mais peint avec les mains !)

 

Je me suis basée sur les couleurs des rideaux du salon, l’abat-jour de la salle à manger, le buffet customisé l’été dernier, les chaises peintes dans des teintes vives et pastels, le canapé…

 

Rideaux vert d’eau

 

Tableau « Bonne mère »

 

Buffet 

 

Chaise ancienne peinte

 

Abat-jour turquoise foncé

La dominante sera donc le vert/bleu.

Commence alors un long travail de tracés au millimètre près (là, je ne m’amuse pas du tout…).

Tout doit être parfait pour que l’effet visuel soit impeccable.

pffff….

Puis, collage de ruban adhésif afin de masquer les carrés pour ensuite travailler le fond (avec le gris créé d’après les teintes des canapés).

 


Ca y est ! C’est parti pour la mise en peinture du fond !

Et si je laissais ainsi ?   L’idée de ces carrés monochromes est plutôt sympa…                                               Non, ce sera pour un autre projet, je poursuis mon idée initiale de carrés multicolores.
Décollage…

 

 

 

 

 

… en douceur !

La mise en couleur des carrés peut commencer ! Youpiii

Toutefois, je dois faire attention à la texture de ma peinture : ni trop sèche (facilité d’application) , ni trop humide (risques de bavures sous l’adhésif).

La subtilité du truc réside dans le dosage de l’humidité sachant, qu’en période estivale, la peinture sèche très vite et que le geste doit alors être rapide et précis.

Et oui, il faut une certaine dose de technique manuelle, sinon on galère !

A noter : j’adore retirer le ruban adhésif sitôt la peinture sèche ! L’effet est immédiat et gratifiant !

 

 

 

 

 

 

 

 

Plusieurs passages de peinture sont nécessaires car le support « boit » un peu.

De plus, comme il ne faut pas que l’on voit les traces du pinceau, il est indispensable d’avoir la main légère et de croiser les tracés.

Sur certains carrés je suis passée 4 fois.

Ajouter toujours la même quantité de blanc à chaque carré ne donne pas toujours le résultat escompté. Je dois souvent ajuster les couleurs dans la zone des dégradés.

Et puis j’ai des surprises en matière de rendu : certains pigments comme le violet, foncent beaucoup au séchage et il faut alors retravailler le dosage de blanc.

Après, se fier à l’impression qui se dégage de ces dégradés qui se côtoient amène à refaire carrément (jeu de mot …) toute la rangée colorée car le visuel ne me convient pas.

Au final, ça donne un algorithme coloré plutôt agréable à l’oeil, non ?

Si vous voyez une forme apparaître, dites-moi laquelle…

J’attends vos commentaires !

 

                                                                         Et voilà !!!